Pour l'Algérie,on peut toujours rêver
Il n’y a plus de police politique en Tunisie.
Le ministère de l’intérieur a annoncé ce lundi la suppression de la direction de la sûreté de l’Etat et “toute forme d’organisation s’apparentant à la police politique”.
Un geste fort. C‘était l’une des principales revendications des acteurs du soulèvement tunisien. Mouvement populaire qui a emporté le régime dictatorial de Ben Ali le 14 janvier dernier.
Dans cette transition politique que suit désormais la Tunisie, l’heure est à l’application de la loi et aux respects des libertés et des droits civiques.
Bien des défis restent encore à relever selon différents partis politiques en particulier celui d’assainir la justice et le secteur de l’information durement marqué par les 23 années de poigne de Ben Ali.(Euronews)
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